En des temps reculés, à l’époque où un pays de la méditerranée dominait encore ce que l’on considérait comme le monde dans son ensemble dans le plus part des tribus peuplant la planète Terre. Tandis qu’un empereur à la réputation millénaire écrivait l’histoire de tout un chacun, un homme de l’ombre voyait le jour pour la première fois. Il sortait de la matrice maternelle au moment précis où la première parcelle de soleil disparaissait derrière l’horizon…curieuse anecdote, quand l’on connaît le destin de cet homme. Son enfance était des plus normal, très jeune il fut enlever à sa mère et placer en école militaire comme son père le fut lui aussi au même âge, et comme la plupart des personnes présentes son destin était de mourir sur le champ de bataille au nom d’un illustre inconnue qui porterais la gloire de leur pays dans les contrés hostile.
À peine avait-il atteins l‘age de la puberté, qu’on lui enseigna à ce battre, à tuer. Ce fut le peu d’enfant pris en esclave dans les guerres ou leur père avait périt et périssait, qui succombait tout juste vécut d’un pagne, et combattant à main nue, et mort de faim, contre lui, entraînée, armée et plein de vigueur. Notre jeune homme n’éprouvait aucun remord à tué, il était conditionné. Il en tua un grand nombre, il fut même pris d’une soif de meurtre toujours plus grande. Il était fort et rapide, et prenait la tête des élèves de l‘école. Mais il finissait par ce réveiller,et ce rendait compte qu’il n’était pas si fort,il était simplement le meilleur ami de cette homme,âgée de deux ans de plus que lui il était le meilleur,le plus grand,le plus fort,le plus rapide,et le pire de tout…Il était gentil avec lui, alors que lui ne rêvait que de le dépasser,mais il manquait d’intelligence,de tactique,et plus que tout maintenant,il manquait de temps. D’ici un an il serait adopté par des soldats, le peu revenue vivant de la guerre, blessé parfois même mourrant.
Le but de cet étape de leur vie était de les enfermer définitivement dans le l’idée que leur but était de mourir pour leur patrie, et surtout…Il leur fallait être orphelin, sans attache, on as moins peur de mourir.
-Un an a passé…Je n’ai pas réussi à devenir plus fort que lui. Il m’énerve, il m’appelle « petit frère ».Je ne veut pas être son frère. Je veux être son rival, son ennemie, sa bête noire. Il me dégoûte.
Le général nous regarde, prend moi, moi, pas lui.
Il s’arrête le regarde, et dit : « Alors c’est lui dont vous m’avez parler ? »
Il le regarde de haut en bas, de bas en haut.
« Voudrait tu que je t’appelle fils ? »
Il lui répond que son père est mort en le servant et qu‘il en serait fière…Tsss son sentimentalisme…quelle horreur.
Tient il ce tient les côte.
Un autre homme suis le général de prêt, on dirait presque un petit chien, je ne comprend pas qu‘un homme puisse faire tant preuve de peu de fierté. Il lui parle à son tour.
« Dit moi, qu’elle camarades ferait selon toi un bon enfant pour moi? Je suis le second du général, et nous nous voyons souvent donc tu pourras le voir autant que tu veut.»
Non ! Ne lui demande pas son avis ! Espèce de sale…Tu préfères faire appel à un gosse pour faire ton choix !
Évidemment c’est moi qu’il désigne, et je me retrouve avec cet homme. « Jupiter, qu’est-je fait pour mériter ça ? »
Il vit seul, ne c’est jamais marié, et n’est pas blessé. Il passe son temps à faire l’apologie de son maître.
« Tu sais je m’en veut…C’est de ma fautes s’il es si gravement blessé, il m’as protéger au périls de sa vie. »
Il pleure l’imbécile…
Il passe son temps avec le général, à l’aider, à lui rappeler de prendre ses médicaments, et de changer ses pansements. Je me demande s’il n’est pas fils d’affranchis… et je continue à passer mon temps avec lui. Nous passons notre temps à jouer à un jeu barbares où l’on place des pions sur des intersections. Des noires et des blancs. Il m’explique qu’il n’y a pas mieux pour s’entraîner à la stratégie militaire. Mais personnellement je ne vois rien qu’un jeu inutile. Mais un jours,alors qu’il était en train de me battre pour la énième fois ,que son père adoptif ne vas pas tarder à mourir , et qu’il vas se marier. Je lui dit être désolé, et lui présente quand même mes félicitations mais il m’explique qu’il souhaite lui comme moi avions évité jusque là au mariage arranger car nous étions orphelin. Mon père était trop occuper à s’occuper de son maître pour me trouver une femme. Apparemment le mariage va être fait rapidement, au diable la tradition, il faut que son père le voie ce marier. Et il veut que je soit présent, de toute façon j’ai pas le choix mon père iras…
La vie continu doucement, une nouvelle guerre ce prépare et évidemment notre protagoniste et son ennemie sont appeler à ce préparer. Alors les préparatifs du mariage s’active plus vite encore, ce ne sera qu’une petite cérémonie à peine officielle. Ils n’iront même pas consulter d’oracle, et les mariés ne se rencontreront que le jour du mariage. Et pendant ce temps l’armée s’entraîne au combat, ils se réunissent et prépare la guerre, et par le biais de son père notre futur mariée pris vite la tête d’une petites sections de trois cents hommes. Je vous laisse deviner qui seras son choix pour second. Il passe son temps à parler de stratégie, il en oublierait presque son mariage. Puis un jour, la nouvelle tomba. Leur sections seras envoyer en première ligne dans quelques jours…On ce pressa et le mariages vint, le lendemain ils partiront en guerre. Et c’est là qu’un élément perturbateur à notre histoire prend place,à ce moment précis,un jour normal pour la plupart,on était habituée depuis longtemps au soldat qui buvait un peu plus que de coutumes les soirs précédent les batailles,mais cela allait changer de nombreuses vies.
On attend plus que la mariée. Elle arrive enfin, je me tiens debout au côté de mon chef militaire mais là, je sens comme un éclair qui me traverse. Cette femme… De longs cheveux d’un noir d’ébène qui coule sur ses épaules comme une cascade. Chez nous, les cheveux d’une femme symbolisent sa féminité, et ce sont donc les attraits sexuels les plus importants. Ses yeux, vert, ce pose sur moi et ses fines lèvres décrivent un petit sourire. Sa toge laisse dévoiler une poitrine ni trop forte ni trop plate, par rapport à mes contemporains je n’aime pas les femmes molles. Et cette femme est… parfaite. Je jette un œil au marié, il me fait un petit sourire, il semble stressé et…Déçu ! Je l’envie maintenant, quel rat. Et tandis que je délaisse la fête suivant le mariage, je repense à elle. Je ne pense plus qu’à deux choses : la femme que j’aime, et l’homme que je déteste plus que le dieu qui auras laisser mes parents procréé, qui qu’il soit. Je retire ma toge, boit un verre de vin et me couche. La nuit as toujours été mon lieu de refuge, mais aujourd’hui elle me laisse tomber laissant place à la femme qui coule désormais dans mes veines. Demain… demain je tuerais, demain j’éventrerais. Demain… demain ce sera la guerre.
Tandis qu’il ferme les yeux et qu’elle vient l’aimer dans ses rêves, quelque chose vient troubler le sommeil de notre ami. Il ce réveille en sursaut, et elle est là, dans la même tenue de marié que tout à l’heure. Elle semble troublée, elle pleure même. Du sang tâche sa robe. Elle s’écrit : « Il est arriver quelque chose de terrible ! Tu dois venir, il a besoin de toi. » Et dans la nuit les voila ce diriger vers l’endroit de la fête, tout les gens sont rentrée à l’intérieur, tout le monde se trouve devant une porte, avec une tête d’enterrement. On explique rapidement que le général c’est mis à cracher du sang, qu’il ne lui reste plus longtemps et qu’il a appelé le second de son fils.
J’entre dans la pièce regrettant le moment où elle était à mes côtés. Il est allonger là, mourrant. Je ne saurait l’expliquer, mais la mort à une odeur que l’on reconnaît du premier coup. Je m’approche du pauvre vieux. Il prend la parole. Même à l’article de la mort, il dégage toujours cette aura puissante de grand général d’armée. Il me fait signe de me pencher au dessus de lui. « Toi…Toi qui es le second de celui que je considère comme mon fils, j’ai une requête à te faire. Tu m’écoute ? »Je l’acquiesce de la tête et il continue. « Je veut qu’une fois que je serais partie tu prenne soin de lui comme j’ai pris soin de ton père. Je veut que demain tu le protége des armes barbares, et que tu prenne soin que son couple soit le plus épanouie possible,tu es la seul personne à qui je peut demander ça,es-tu prêt à accéder à la dernière requête d’un vieille homme? » Je frissonne, et sourit, j’en es mal au joue tellement c’est bon. Je me penche encore plus sur lui et lui répond à l’oreille, ne pouvant empêcher mes soubresauts de plaisir. «Ton fils, demain, je le protégerais des armes barbares, car c’est moi qui le tuerais, ça femme seras des plus épanouie quand je lui ferais l’amour fait moi confiance. Et sache que l‘homme qui m‘as adopter périras de mille souffrance, il n‘est rien d‘autre que le dernier rebut de l‘humanité.»Puis je place ma main sur son cou et serre. Je suis habitué à tuer, mais cette fois ci le plaisir est plus immense encore. Dans un premier temps j’ai du mal à me calmer et as effacer le sourire sur mon visage. Une fois mon calme retrouver je retournes là ou les convives attende, baissant le regard de peur du retour de mon sourire. « Il est mort. »Tout le monde pleure, je fait mine d’être toucher et rentre chez moi. Demain je tuerais encore.
En s’endormant, il rêve encore de la belle-fille en deuil, mais le jour vient le réveiller et il fait alors le vœu de ne jamais revoir le jour, pour la énième fois. Il revêt son armure : c’est toujours les même geste, d’abord la jambe gauche toujours, cnémide, sandale. Puis la jambe droite, et puis une gorgée de vin, toujours. Et le voila partie pour rejoindre ses amis légionnaires. Les plébéiens qui le croise dans la rue le salut. Il arbore fièrement sa tunique. Une fois arriver, il rejoint son général et l’armée ce met en avant. Les jours de marche ce succèdent puis un jour, ils atteigne enfin la frontière.
Le reste de l’armée est restée en arrière, nous laissant comme éclaireurs. Pourtant j’ai l’impression d’être le seul à me rendre compte que nous allons droit au suicide. Nous faisons halte dans une forêt. Et dans la tente générale, on décide qu’il faut envoyer un espion pour avoir une évaluation du nombre d’ennemie, et évidemment c’est moi qu’on envoie. Je ne vais pas m’en plaindre, je n’en peut plus de le voir, à la première bataille je le tuerais. En attendant si je peut avoir un ou deux ennemies tant que j’y serait je le ferait avec plaisir. Seulement voila, arriver devant le camp ennemie, la nuit est tomber…C’est même plus un camp c’est un pays entier qui c’est soulever ! On vas tous mourir, si toute l’armée ne s’y met pas, la capital pourrait tomber. Je prend peur, me retourne, et sur le point de prendre mes jambes à mon cou je me heurte contre quelque chose de dur et m’étale sur le sol, a peine ais-je repris connaissance qu’une main me saisit par le cou et me soulève. Serait-ce une punition pour avoir abréger les souffrances du vieux ? J’ouvre les yeux.
Soutenu par un bras au dessus du sol il se sent plus faibles que jamais. L’homme qui lui fait face est de la même corpulence que lui, à peine plus grand. L’étranger lui dit alors : «Et bien mon ami, on c’est perdu ? » Il le rapproche sans peine jusqu’à lui et le renifle. « Tu sent la haine et la rancœur, serais-ce toi que je cherche ? »Perdu il tremble et reste aphone. «En restant ici tu vas mourir de toute façon. Veut tu mourir ? » Il se reprend un peu et déclare qu’il mourras au combat s’il le faut. Il savait qu’un de ses camarades aurait plutôt répondus plutôt « mourir pour son pays», mais pas lui. Ce qui plut à son interlocuteur. « Moi je dit, mourir pour mourir. »Et d’un coup l’homme enfonce ses crocs dans le cou de notre pauvre légionnaire qui sent une douce chaleur envahir son corps, tandis que son être est submergé par le plaisir, que la vie quitte son corps, des images lui viennent à l’esprit. Des choses sublimes, tout d’abord, lui apparaissent des images : d’un homme sur un nuage, de disques ramollis, une femme habillé sobrement au sourire ravageur le suit du regard alors que lui vient l’image d’une cité à l’architecture parfaite en bord de mer, un air de musique ensuite, il n’as jamais entendu pareille chose. Des voix puissante appellent au roi, puis il voit un homme avec une pomme à la place du visage, des femmes nues au formes cubiques se baignent dans l’eau, il voit ensuite une tours immenses détruites par on ne sait quel carnage ou ce croise nombre de gens, puis un homme à cheval une cape rouge au vent et portant un couvre chef étrange. De forme bleu il reconnaît des courbes féminines, poursuivit par l’image très coloré d’une chambre qui apparaît, il vit ensuite une course de chars, des oiseaux qui attaquent les hommes, puis une femme magnifique, aux cheveux d’or, là son regard s’arrête la femme est trop magnifique pour ne pas qu’il passe quelques secondes sur son visage, il se rend alors compte qu’il as un certains contrôle sur ce qu’il voit. La femme est vêtu d’une étrange étoffe qu’elle retient alors qu’un vent semblant venir du sol manque de la faire voler.
Elle est belle, mais j’en connut une qui l‘est encore plus. Je retombe alors du plaisir dans le quelles j’étais plonger, je sent la chaleur quitter mon corps, je suis frustrer, mais je suis quand même content de sentir encore un peu de vie en moi, complètement sonné j’entend une voix qui susurre à mon oreille « une femme hein? Je sens que tu vas me distraire. » Il me relâche enfin, je tombe sur le sol et porte ma main à mon coup, enfin c’Est-ce que je croit, je me rend compte que mon corps ne me répond plus, je suis vidé de toutes forces et à la merci total de la chose qui me fait face, je le regarde avec pour seul idée en tête que je ne veut pas mourir, pas tant que je ne l’aurais pas posséder. Je n’aurais pas cette chance…Voila qu’il s‘entaille le bras devant moi, mais qu’est-ce que c’est que ce pervers ? J’ai maintenant la preuve qu’il est tout sauf humain, il n’y a aucun sang qui coule de son corps, à la place c’est une sorte de brume noire étrange. Une brume parce que je n’arrive pas à savoir si c’est liquide solide ou gazeux. Il porte sa plaie au bras jusqu’à ma bouche, je sens que je pars alors…Comme il m’a dit précédemment « mourir pour mourir», j’avale, ou plutôt je bois. Et je me sent évidemment partir, je sent le néant qui prend place dans tout mon être ce distillant dans mon corps veine par veine. La dernière pensée qui me vint fut pour le dieu qui me donna naissance, il me semblait avoir finalement pris ma revanche.
A suivre...